Chez Nordvie, plusieurs cultivars ont été testés depuis les trente dernières années.
Voici la sélection des variétés que l'on cultive qui, à notre avis, conjugue les qualités organoleptiques et l'adaptabilité à nos conditions locales de culture.
Toutes les variétés de fraise que nous consommons aujourd'hui ont comme ancêtre Fragaria x ananassa issue d'un croisement effectué au début 1700 entre Fragaria chiloensis (Blanche du Chili) et la Fragaria virginiana (Écarlate de Virginie) deux fraisiers sauvages d'Amérique du Sud et du Nord.
Il n'y a pas d 'OGM dans les fraisiers cultivés. Les nouveaux cultivars ou variétés sont issus de croisements entre anciens cultivars. Pour conserver le caractère de chaque cultivar, la multiplication se fait ensuite par plantation de plants mères.
La fraise contient des taux relativement élevés d'acide ascorbique (vitamine C), d'acide éllagique, d'acide folique, d'acides phénoliques et des flavonoïdes.
Selon certaines études, les fraises permettraient de retarder le déclin de l'activité neuronale et les déficits comportementaux liés à l'âge. Elles sont aussi associées à une activité antitumorale chez des cellules cancéreuses. Elle possède aussi un très fort potentiel antioxydant.
Ces propriétés se retrouvent dans le fruit frais, congelé et séché.
La fraise a la propriété de stimuler la libération d'histamine par le système immunitaire. Elle peut alors entraîner des symptômes d'asthme ou d'urticaire. Ces symptômes sont désagréables, mais non dangereux, il n'impliquent pas la formation d'anticorps spécifiques. Il existe une faible incidence de vraie allergie à la fraise (moins de 1 % des allergies alimentaires) chez l'adulte.